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Disposition 110.1

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L'UNAT a examiné un appel déposé par des membres du personnel de l'UNRWA. L'UNAT a estimé que le DT de l'UNRWA avait eu tort de conclure que les lettres de rappel n'étaient pas des réprimandes destinées à permettre aux appelants de contester le placement des lettres dans leurs dossiers officiels. En effet, un tel rappel ne peut pas être considéré comme une action neutre, mais plutôt comme un avertissement concernant un éventuel non-respect du cadre réglementaire de l’Agence. L’UNAT a constaté qu’aux yeux d’une personne moyenne, un tel rappel s’apparente indéniablement à une réprimande.

L'UNAT...

L'UNAT a examiné un appel de M. Al Othman contre le jugement de l'UNRWA n° UNRWA/DT/2020/073. Elle a également examiné un appel incident du Commissaire général de l'UNRWA, dans la mesure où le jugement a accordé une indemnisation à M. Al Othman. L'UNAT a estimé qu'il existait des preuves claires et convaincantes établissant que M. Al Othman avait commis les infractions alléguées. Les conclusions de l'UNRWA DT étaient exactes, fondées sur des éléments de preuve versés au dossier et de notoriété publique, et l'UNAT n'a trouvé aucune raison de s'écarter de ces conclusions. L'UNAT partageait le...

L'UNAT a décidé que des erreurs dans la manière dont la décision de licenciement sommaire avait été communiquée au requérant n'affectaient pas le fait que la véritable décision avait finalement été prise par la personne compétente du Commissaire général et non par une autorité déléguée. Il est incontestable que M. Mohammad n’a pas eu la possibilité de commenter les éléments de preuve supplémentaires produits contre lui après la réouverture de l’enquête (deux entretiens avec la mère de l’élève B et l’élève B). Cependant, ni dans son appel ni dans sa demande initiale auprès du DT de l'UNRWA, il...

Unat a jugé que l'UNRWA DT exerçait son pouvoir discrétionnaire pour poursuivre le jugement sommaire légalement et de manière appropriée. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis une erreur lorsqu'elle a décidé que la demande de l'appelant n'était pas à recevoir Ratione Materiae. UNAT a noté que l'affaire était presque identique à Oussama Abed & Eman Abed c. Commissaire général de l'Agence des Nations Unies pour Relief and Works pour les réfugiés palestiniens du Proche-Orient (jugement n ° 2022-UNAT-1297). Conformément à ce jugement, Unat a jugé que le placement d'une lettre rappelant à l...

Unat a jugé que l'UNRWA DT n'avait pas commis d'erreur de procédure, par exemple, pour affecter la décision de l'affaire conformément à l'article 2, paragraphe 1, de la loi UNAT. Unat a rejeté l'argument selon lequel le fait que l'appelant n'avait pas reçu les enregistrements de l'audience ou du transcrit a affecté la décision de l'affaire. Unat a soutenu que l'appelant a simplement répété les arguments soulevés avant Unrwa dt. Unat a accepté la conclusion de l'UNRWA DT selon laquelle l'appelant avait amplement l'occasion de répondre aux allégations et de faire des commentaires sur le rapport...

Unat a noté que, lors de l'examen d'une sanction imposée par l'administration, il devait examiner si les faits sur lesquels la sanction était fondée était établie; si les faits établis sont légalement constitués de faute; et si la mesure disciplinaire appliquée était disproportionnée à l'infraction. Unat a confirmé la décision du commissaire général de discipliner le membre du personnel pour faute. Cependant, à la lumière des facteurs atténuants, Unat a jugé que la mesure disciplinaire était disproportionnée à l'infraction et a substitué la mesure disciplinaire de la rétrogradation avec celle...

Unat a jugé que l'appelant n'avait établi aucune erreur ou la loi qui justifierait l'inversion du jugement de l'UNRWA DT en appel. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait correctement caractérisé la décision administrative contestée sous réserve de son examen judiciaire comme une rétrogradation et un transfert ultérieur, qui a été pris après une procédure disciplinaire. Unat a jugé que l'UNRWA DT n'avait pas commis d'erreur lorsque, après avoir effectué un examen adéquat des exigences pour l'adoption d'une mesure disciplinaire, il a conclu qu'il y avait eu une faute et que la sanction était légale et...

Unat a considéré l'appel. Unat a noté que le système disciplinaire de l’UNRWA prévoit que le commissaire général ne peut imposer que de telles mesures disciplinaires aux membres actuels du personnel. UNAT a donc constaté que l'UNRWA DT avait commis une erreur en concluant que le commissaire général avait le droit d'imposer la mesure disciplinaire d'une amende après la fin de l'emploi de l'appelant et a jugé que la mesure disciplinaire devait être annulée. En ce qui concerne la demande d’indemnisation de l’appelant, UNAT a noté qu’elle ne peut accorder une indemnisation que pour préjudice dans...

En tant que question préliminaire, Unat a jugé qu'une audience orale n'était pas nécessaire et ne contribuerait pas à l'élimination rapide et équitable de l'affaire, car l'appelant n'avait pas fourni une motif pour une audience orale au-delà de la demande de confronter les témoins et de commenter les preuves existantes. Alors que Unat a jugé que l'appelant n'avait identifié aucune erreur de droit ou de fait par Unrwa DT, comme l'exige le statut d'art 2 (1), unat a continué à considérer son appel car il n'était pas représenté. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait correctement appliqué la norme de...

Unat a convenu avec l'UNRWA DT que la décision contestée était un exercice légal du pouvoir discrétionnaire. En ce qui concerne l'affirmation de l'appelant selon laquelle le processus a été entaché en raison du délai de temps depuis que la plainte de comportement s'est produite (dix ans) et en raison de la nature du ouï-dire des preuves, Unat a expliqué que ces mêmes arguments ont été avancées à la fois au DT et au DT et au Administration pendant la phase d'enquête. Le tribunal a convenu avec l'UNRWA DT qu'il y avait suffisamment de preuves corroborantes pour soutenir les allégations. Le...