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Secrétariat de l'ONU

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2022-UNAT-1267, AAD

Le Tribunal d'appel a rejeté la demande d'audience d'AAD parce qu'elle n'a fourni aucune raison convaincante à l'appui de sa demande.

L'UNAT a estimé que le Tribunal du contentieux administratif avait commis une erreur en déterminant si les faits établis pouvaient être qualifiés de faute et si les sanctions disciplinaires étaient proportionnées. Dans son jugement, le Tribunal du contentieux administratif a également commis une erreur en substituant sa détermination de la sanction disciplinaire appropriée à celle de l'Administration et, à ce titre, l'UNAT a conclu que le jugement du Tribunal...

Audience : M. Izurieta Canova a demandé, conformément à l'article 18, paragraphe 1, du règlement intérieur de l'UNAT, qu'une audience ait lieu dans cette affaire. Comme il s'agit d'une affaire simple, dépourvue de toute complexité factuelle ou juridique, le TANU n'a pas considéré qu'une audience contribuerait à un règlement rapide et équitable de l'affaire. Pour cette raison, la demande d'audience a été refusée.

La question en appel était de savoir si la décision d'annulation du recrutement contestée par le Secrétaire général de la CNUCED constituait un exercice licite et raisonnable du...

L'UNAT a estimé que les plaintes de M. Saleh pour iniquité procédurale n'étaient pas fondées pour les raisons avancées par le Tribunal du contentieux du Tribunal et il ne s'était pas acquitté de la charge qui lui incombait de convaincre le Tribunal d'appel que le jugement du Tribunal était défectueux à cet égard. Il s'est contenté de répéter les arguments intenables qu'il avait présentés devant le Tribunal. L'UNAT a noté que M. Saleh a admis deux chefs d'accusation de fraude. L'UNAT a ensuite estimé que la conduite de M. Saleh avait incontestablement porté atteinte à la relation de confiance...

L'UNAT a convenu avec le Tribunal du Commerce que les deux premières demandes devaient être rejetées. L'appelante n'a pas fourni de preuves suffisantes démontrant que sa candidature n'avait pas été examinée pleinement et équitablement. Concernant la plainte généralisée pour harcèlement, l'UNAT a reconnu que la requête sur cette question n'était pas recevable. Toutefois, en ce qui concerne la conclusion selon laquelle l’Administration avait abusé de son autorité en traitant mal la plainte pour harcèlement sexuel de la requérante, l’UNAT a estimé qu’il y avait eu une erreur de procédure. L...

La question cruciale en appel était de savoir si le Tribunal du contentieux administratif avait commis une erreur en soumettant à la responsabilité uniquement le chef des enquêtes de l'OIAI, mais pas le directeur général et les autres membres du personnel de l'UNICEF. L’UNAT a estimé qu’il n’y avait pas d’erreur dans le jugement du Tribunal du contentieux administratif, car le Tribunal du contentieux administratif avait le pouvoir discrétionnaire de rejeter la demande de renvoi du requérant. L’approche juridique du Tribunal était correcte. Le Tribunal du contentieux administratif a décidé de...

Le Tribunal du contentieux administratif était confronté à deux versions inconciliables de l'affaire et il lui fallait donc s'assurer de la crédibilité et de la fiabilité des différents témoins factuels et des probabilités. Cette tâche a été rendue particulièrement difficile pour le Tribunal du contentieux administratif dans la mesure où les témoins concernés n'ont pas présenté leurs dépositions en personne. En l’espèce, les éléments de preuve présentés par le Secrétaire général étaient d’une nature et d’une valeur extrêmement limitées. Le Secrétaire général s’est appuyé exclusivement sur le...

i.              Le Tribunal a noté que, d'après les éléments de preuve versés au dossier, le requérant n'a jamais été membre du personnel de la CEA, de la DOS ou de toute autre entité de l'Organisation des Nations Unies. Par conséquent, il n'avait pas de locus standi devant le Tribunal. La requête a donc été rejetée.

ii.              Le Tribunal a également estimé que la requête était frappée de l'autorité de la chose jugée. Il a été rappelé que le Tribunal avait précédemment rejeté une requête du requérant contestant les mêmes griefs que ceux soulevés dans la présente requête. Dans le...

Appealed

Unat a jugé que, puisque le fils de l'appelant a un handicap, il avait le droit de recevoir des prestations uniquement dans le cadre du programme de subventions d'éducation spéciale ST / AI / 2018/2 (subvention d'éducation spéciale et avantage connexe pour les enfants handicapés) et non dans l'éducation régulière Schéma de subventions ST / AI / 2018/1 / Rev.1 (subvention en matière d'éducation et prestations connexes). UNAT a conclu que, puisque le fils de l'appelant ne faisait pas d'embarquement pendant l'année académique de 2019-2020 et a continué à résider au domicile parental, l'appelant n...

Unat a constaté que l'UNDT a conclu correctement que la décision contestée de ne pas initier une enquête due à la démission de son SRO était légale dans le cadre d'un exercice raisonnable du pouvoir discrétionnaire. Bien que le terme «évaluation préliminaire» dans ST / SGB / 2019/8 n'ait pas été spécifiquement utilisé dans la décision contestée, il était clair que la plainte de Mme Fosse était préliminairement évaluée avant que la décision ne soit prise qu'aucune enquête ne serait entreprise. Alors que le Bulletin précédent (ST / SGB / 2008/5) peut avoir été en vigueur lorsqu'elle a déposé sa...

En ce qui concerne l'appel contre l'ordonnance de l'UNT pour la radiation des documents contestés de son dossier, Unat a constaté qu'il était à recevoir parce que, à moins que les documents ne soient conservés pour être utilisés au procès, ils pourraient être perdus avec la conséquence que le Secrétaire général serait Soyez incapable de les utiliser pour établir ses allégations de contrefaçon et de fraude comme il avait droit. Unat a constaté que l'ordre de l'UNDT était, à cet égard, effectivement irrémédiable; que ce serait une conséquence manifestement déraisonnable de l'ordre pour le...