UNDT/2022/039, Mubashara Iram
L'enquête a établi avec succès que le demandeur s'est engagé dans le harcèlement en milieu de travail à sept occasions différentes contre les trois plaignants. En commettant du harcèlement sur le lieu de travail, le demandeur a violé les normes d'intégrité les plus élevées et s'est engagé dans un comportement inconvenant d'un fonctionnaire international. En tant que tel, sa conduite constitue une mauvaise conduite sérieuse. Cependant, la mesure disciplinaire de la séparation du service imposée au demandeur s'est avérée trop sévère d'une lumière liée à la pénalité des mesures disciplinaires passées de l'administration sur d'autres cas de conduite comparable, ainsi que du contexte dans le contexte de la décision. Ainsi, le droit du demandeur à avoir une sanction proportionnée à l'inconduite a été avéré avoir été violé. En conséquence, le Tribunal a décidé d'annuler la mesure disciplinaire de la séparation du service par une compensation au lieu d'un avis et avec une indemnisation de licenciement, le remplaçant par celui de la rétrogradation d'une étape dans le grade par le renvoi, pendant trois ans, d'admissibilité promotion. Si l'intimé choisit de verser une compensation au lieu de réintégration, la requérante sera payée une somme de 12 mois de son salaire net à la base au taux qu'elle aurait été payé si elle avait été rétrogradée au moment de sa séparation.
Le requérant conteste la mesure disciplinaire de la séparation du service avec compensation au lieu de l'avis et avec une indemnité de résiliation, conformément à la règle 10.2 (a) (viii) du personnel de l'ONU.