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Questions disciplinaires / fautes professionnelles

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En l'espèce, les faits ont été établis et il existe des preuves claires et convaincantes que le requérant a commis une fraude délibérée.

La conduite du requérant constitue une violation de ses obligations fondamentales en vertu des articles 1.2(b) et (g) du Statut, de la règle 1.2(i) du Statut et du Cadre stratégique pour la prévention de la fraude et de la corruption.

Les preuves sont claires et convaincantes que le requérant a agi en connaissance de cause et avec l'intention d'induire en erreur (et même avec un possible intérêt économique personnel).

Compte tenu de la nature et de la...

L'UNAT a estimé que le Tribunal avait commis une erreur en concluant que le refus de l'ancien Directeur exécutif d'ouvrir une enquête sur toutes les allégations soulevées constituait une violation de la norme ST/SGB/2008/5. L'UNAT a estimé que l'Administration jouissait d'un certain pouvoir discrétionnaire quant à la manière de procéder à l'examen et à l'évaluation d'une plainte et pouvait décider d'ouvrir ou non une enquête d'établissement des faits sur tout ou partie des allégations. Le TANU a confirmé la conclusion du TDNU selon laquelle l’ancien Directeur exécutif n’avait pas respecté la...

Le Tribunal du contentieux administratif était confronté à deux versions inconciliables de l'affaire et il lui fallait donc s'assurer de la crédibilité et de la fiabilité des différents témoins factuels et des probabilités. Cette tâche a été rendue particulièrement difficile pour le Tribunal du contentieux administratif dans la mesure où les témoins concernés n'ont pas présenté leurs dépositions en personne. En l’espèce, les éléments de preuve présentés par le Secrétaire général étaient d’une nature et d’une valeur extrêmement limitées. Le Secrétaire général s’est appuyé exclusivement sur le...

Le Tribunal a évalué les preuves recueillies par les enquêteurs concernant chaque incident et a conclu que, dans la plupart des cas, il n'y avait aucune preuve directe ou corroborante de harcèlement ou de harcèlement sexuel, et que les enquêteurs avaient fondé leurs conclusions uniquement sur le récit de V01. Étant donné que presque toutes les preuves à l'appui de la conclusion de mauvaise conduite proviennent du témoignage de V01, par opposition à celui du requérant, l'établissement de la crédibilité de V01 est un exercice essentiel pour un jugement approprié de l'affaire.

Cependant, l...

La sanction imposée était-elle conforme à la pratique passée ?
Le demandeur n’a pas réussi à démontrer que la sanction imposée était incompatible avec la pratique antérieure pour les raisons suivantes :
Premièrement, il appartient à l’Administration d’identifier des cas antérieurs comparables. En effet, il n’appartient ni au Tribunal ni au requérant de « choisir » quels précédents l’Administration devrait prendre en considération pour déterminer la sanction appropriée. Deuxièmement, après une analyse minutieuse de la lettre de sanction de 2022, le Tribunal estime que l’Administration a...

Les documents au dossier, et en particulier le préavis de licenciement, montrent que le requérant était employé par une société privée. Hormis la déclaration non étayée du requérant dans son formulaire de renseignements personnels lors du dépôt de ses observations, selon laquelle son bureau de travail était le "CCI", il n'y a aucune preuve au dossier montrant qu'il a une relation contractuelle avec l'Organisation des Nations Unies au sens de l'article 3 du Statut du Tribunal. 3 du Statut du Tribunal. En tant que tel, le requérant n'a pas de locus standi devant ce Tribunal.


En outre, si le...

L'Administration a établi qu'il existe des preuves claires et convaincantes que le requérant s'est livré à un conflit d'intérêts dans les procédures de passation de marchés et qu'il a fait un usage abusif des biens du PNUD.

En vertu des règles et règlements applicables, le requérant avait clairement l'obligation de divulguer de manière complète et précise ses liens personnels avec Prime Options et St. Paul's, qui constituaient des motifs de conflit d'intérêts, et de se récuser de toute participation aux procédures de passation de marchés impliquant ces deux vendeurs. Cependant, le requérant n...

Le Tribunal, sur la base des preuves au dossier, a établi que la facture et le rapport médical que le requérant a soumis à Cigna pour remboursement n'étaient pas authentiques. Malgré ce qui précède, le requérant a certifié à Cigna que les informations qu'il soumettait étaient "correctes et véridiques" et reconnaissait donc qu'il avait connaissance du contenu de la demande de remboursement des frais médicaux et qu'il attestait de son authenticité.

Le Tribunal a également conclu qu'aucune preuve de l'efficacité du traitement médical n'a été apportée. A l'exception de la fausse facture et du...

Il existe des preuves claires et convaincantes que le requérant s'est livré à une fraude aux droits et a reçu des remboursements pour des services médicaux qui n'avaient pas été fournis. Il a faussement certifié et soumis trois demandes de remboursement à Cigna, pour lesquelles il a reçu un total de 17 171,26 USD. Il n'avait pas droit à ce remboursement. Le PNUD étant auto-assuré, ces fonds ont représenté une perte pour le PNUD.

Le comportement du requérant relevait de ce que la politique du PNUD contre la fraude et autres pratiques de corruption (approuvée en octobre 2018) définit comme...