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Questions disciplinaires / fautes professionnelles

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Les documents versés au dossier démontrent, par des preuves claires et convaincantes, que le requérant a loué son appartement à Addis Abeba à deux autres membres du personnel, sur la base d'un bail avec un loyer gonflé (et sans payer les frais d'agent), et que ces deux derniers ont utilisé ce bail pour demander au HCR une allocation de logement d'un montant indu.

Le requérant a été inculpé de deux chefs d'accusation différents :

a.       Permettre à une femme ("F01"), qui n'était pas membre du personnel des Nations Unies et qui n'avait pas reçu d'autorisation préalable de transport des Nations Unies, d'être transportée dans le véhicule, permettant le comportement de M. Antoine, le passager arrière du véhicule des Nations Unies, qui a serré F01 contre son corps alors qu'elle était assise sur lui et qu'elle tournait de manière sexuellement suggestive, alors que M. Antoine tenait F01 avec sa main sur sa fesse et qu'il rapprochait sa partie génitale de...

 

Le requérant a été inculpé de deux chefs d'accusation différents :

a. pour avoir, le 21 mai 2020, alors qu'il se trouvait à bord d'un véhicule des Nations Unies bien visible depuis une rue publique de Tel Aviv (Israël), serré une femme contre son corps alors qu'elle était assise sur ses genoux, face à lui, et qu'elle tournait de manière sexuellement suggestive ; ces événements ont été filmés dans un clip vidéo de 18 secondes, qui a été largement diffusé, jetant le discrédit sur l'Organisation (premier chef d'inculpation) ;

b. pour ne pas avoir coopéré avec les enquêtes du BSCI en refusant...

Le Tribunal a établi, sur la base des preuves au dossier, que la facture et le rapport médical que le requérant a soumis à Cigna n'étaient pas authentiques. Le Tribunal a estimé que cela suffisait à étayer l'accusation selon laquelle le requérant avait utilisé de faux documents pour recevoir des avantages économiques indus de la part de Cigna. Le Tribunal a également conclu qu'aucune preuve de l'efficacité du traitement médical n'avait été apportée. Le Tribunal a donc conclu qu'il existait des preuves claires et convaincantes que le requérant avait commis une faute en soumettant une demande...

En ce qui concerne l'appel par le Secrétaire général de la conclusion de l'UNDT que l'inconduite en vertu du chef 2 n'a pas été établie, l'UNAT a jugé que l'UNDT ne s'est pas trompé en fait, ce qui a entraîné une décision manifestement déraisonnable. Les messages envoyés par le membre du personnel à son voisin étaient des suggestions et des déclarations à une personne qui n'était pas témoin à l'époque. Le membre du personnel n'était pas sous et ne soupçonnait pas qu'il serait probablement sous une enquête au moment où il a envoyé les messages.

Le voisin les a trouvé appropriés et ne se...

Unat a jugé que l'UNRWA DT exerçait son pouvoir discrétionnaire pour poursuivre le jugement sommaire légalement et de manière appropriée. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis une erreur lorsqu'elle a décidé que la demande de l'appelant n'était pas à recevoir Ratione Materiae. UNAT a noté que l'affaire était presque identique à Oussama Abed & Eman Abed c. Commissaire général de l'Agence des Nations Unies pour Relief and Works pour les réfugiés palestiniens du Proche-Orient (jugement n ° 2022-UNAT-1297). Conformément à ce jugement, Unat a jugé que le placement d'une lettre rappelant à l...

L'UNAT a jugé que l'UNT ne s'est pas commis en concluant qu'il y avait des preuves claires et convaincantes que l'appelant avait physiquement agressé un autre membre du personnel et que la mesure disciplinaire de la séparation du service, avec une indemnité au lieu d'un avis et sans indemnité de résiliation, était proportionnée à La nature et la gravité de l'inconduite de l'appelant. Surtout, l'appelant n'a pas établi un degré de provocation qui a atténué ses représailles qui étaient également excessives et au-delà des limites de toute défense autorisée dans l'altercation. Les conclusions de l...

L'UNAT a jugé que la plainte de harcèlement sexuel déposé par le membre du personnel contre ses anciens superviseurs (Fro et SRO) a conduit à des enquêtes dont les rapports ont été la base des processus disciplinaires et des sanctions contre les deux personnes, ainsi qu'une mesure administrative supplémentaire contre son ancienne ancienne Sro. L'administration a agi rapidement, lorsqu'elle est officieusement informée des actes répréhensibles, en plaçant le membre du personnel en congé de maladie certifié pendant environ deux mois, avant de la réaffecter à sa demande à un nouveau lieu de...

Unat a jugé que la décision de l'administration de suspendre l'examen de l'initiation d'un processus disciplinaire et de reprendre à la place si l'appelant est réapprovisié par l'organisation à l'avenir, ne constituait pas une décision administrative appelable aux fins de l'article 2 (1) (a) de la loi UNDT, car il n'a pas produit d'impact négatif actuel et direct sur les conditions de nomination de Mme Mugo. Unat a jugé que tout ce que l'administration avait fait était de savoir si l'appelant était prêt à coopérer dans un processus disciplinaire. Par conséquent, comme aucune allégation écrite...

L'UNAT a jugé que le membre du personnel était responsable d'avoir convenu que l'UNDT ne devait entendre aucune preuve directe des témoins en personne, mais devrait décider de l'affaire sur les documents soumis. En tant que tribunal inquisitoire et non uniquement contradictoire, l'UNDT aurait néanmoins pu avoir tenu une audience. L'UNAT a constaté que l'UNDT avait le droit de conclure sur les preuves du plaignant à elle seule que le membre du personnel s'était engagé dans une relation sexuelle avec elle. Leur relation sexuelle était liée à l'emploi et donc transactionnelle. L'UNDT avait le...