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UNRWA RdP TC

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Le TANU a estimé que le DT de l'UNRWA avait commis une erreur en regroupant les sept affaires.  Les affaires consolidées impliquaient des décisions administratives uniques, et ces décisions n'impliquaient ni une politique administrative commune, ni un ensemble de faits communs. La nature des fautes attribuées aux membres du personnel n'était pas la même dans tous les cas.  Les cas concernaient des membres du personnel de différents bureaux locaux de l'UNRWA.  Les mesures disciplinaires prises n'étaient pas identiques d'un cas à l'autre, mais comprenaient un large éventail de sanctions.  Les...

2024-UNAT-1463, AAW

Le TANU a noté que le DT de l'UNRWA avait ordonné à chaque partie de désigner un psychiatre, qui à son tour devait désigner un troisième psychiatre pour examiner si l'état mental de l'agent au moment où il a commis le cambriolage, dont la condamnation avait été le motif de sa séparation dans l'intérêt de l'Agence.  Le Commissaire général n'a pas respecté cette instruction, sans explication, laissant ainsi le DT de l'UNRWA sans information médicale sur l'état de AAW au moment du cambriolage.
Le TANU a estimé que le Commissaire général avait clairement et manifestement abusé de la procédure par...

L'UNAT a estimé que le DT de l'UNRWA avait exercé à juste titre son large pouvoir discrétionnaire en ce qui concerne sa gestion des dossiers en concluant que le dossier dont il disposait était suffisant pour rendre une décision sans audience. Elle a conclu que l'appelant n'avait présenté aucun motif expliquant pourquoi une audience aurait été nécessaire et n'avait donc pas démontré que la DT de l'UNRWA avait exercé son pouvoir discrétionnaire de manière à affecter l'issue de l'affaire, comme l'exige l'article 2( 1)(d) du Statut du Tribunal d’appel.

Concernant l'argument du recourant selon...

L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.

L'UNAT a estimé que, dans son appel, le fonctionnaire n'avait pas exposé les motifs de son appel, identifié les vices du jugement attaqué et démontré pour quels motifs il était erroné.

L'UNAT a noté qu'en arrivant à sa conclusion, la DT de l'UNRWA avait conclu que le fonctionnaire n'avait certes pas présenté de demande de révision de sa décision. La DT de l’UNRWA n’a pas commis d’erreur lorsqu’elle a estimé que la requête du fonctionnaire était pour cette raison irrecevable ratione materiae.

L'UNAT a rejeté l'appel et confirmé le...

L'UNAT a décidé que des erreurs dans la manière dont la décision de licenciement sommaire avait été communiquée au requérant n'affectaient pas le fait que la véritable décision avait finalement été prise par la personne compétente du Commissaire général et non par une autorité déléguée. Il est incontestable que M. Mohammad n’a pas eu la possibilité de commenter les éléments de preuve supplémentaires produits contre lui après la réouverture de l’enquête (deux entretiens avec la mère de l’élève B et l’élève B). Cependant, ni dans son appel ni dans sa demande initiale auprès du DT de l'UNRWA, il...

L'UNAT a estimé que l'UNRWA DT avait exercé son pouvoir discrétionnaire pour procéder par jugement sommaire, sans examiner le fond de l'affaire, de manière légale et appropriée. Elle a estimé que de cette manière, la DT de l'UNRWA avait agi non seulement conformément aux principes d'économie et d'efficacité judiciaires, mais également dans l'intérêt d'un règlement rapide de l'affaire. L'UNAT a constaté que le requérant a reçu la décision administrative contestée le 3 novembre 2009 et a déposé sa demande auprès du DT de l'UNRWA le 12 août 2022.  Il était donc évident qu'il avait déposé sa...

M. Jibril a fait appel.

En ce qui concerne la demande d'audience, l'UNAT a estimé que les questions factuelles et juridiques soulevées par cet appel avaient déjà été clairement définies par les parties et qu'il n'était pas nécessaire de fournir des éclaircissements supplémentaires. De plus, une audience ne contribuerait pas à régler l’affaire de manière rapide et équitable, comme l’exige l’article 18(1) du Règlement intérieur du TANU. En conséquence, la demande d'audience est rejetée.

L'UNAT a convenu avec le DT de l'UNRWA que la décision administrative contestée de placer M. Jibril en congé...

En ce qui concerne la demande d'une audience orale, l'UNAT a jugé que l'UNRWA DT avait légalement exercé son pouvoir discrétionnaire et avait donné une explication raisonnable pour ne pas tenir une audience orale. L'UNRWA DT a déterminé correctement que les preuves documentaires complètes avant qu'elle ne soit suffisante pour rendre une décision sans avoir besoin d'une audience orale, d'autant plus que la question était de recevoir. De plus, les appelants n'ont pas montré comment le refus de la demande de détenir une audience orale a affecté le jugement. En ce qui concerne la question de la...

Unat a considéré un appel de M. Zaqqout. En ce qui concerne une audience orale, UNAT a constaté que, puisque la demande avait été rejetée pour des motifs de créance, les arguments de M. Zaqqout n'étaient pas suffisamment convaincants afin de justifier une audience orale à ce stade. Certaines des questions soulevées dans l’appel ont été liées au fond de la demande de M. Zaqqout et n’ont pas atteint le seuil de l’évaluation de la création. Étant donné que M. Zaqout a été informé au stade très précoce de la procédure de l'allégation de l'UNRWA selon laquelle il avait été informé de la décision...

Unat a confirmé le jugement Unrwa dt. En ce qui concerne la déduction d'une somme d'argent de ses prestations de séparation, Unat a convenu que cette réclamation n'a pas été soumise pour la première fois pour un examen de la décision. En ce qui concerne sa séparation du service sans indemnité de résiliation, Unat n'a également trouvé aucune erreur dans le jugement de l'UNRWA DT. Le tribunal a convenu avec l'UNRWA DT que le relevé bancaire ne contenait pas le montant correct et que les factures qu'il a soumises ne se rapportaient pas à de véritables achats. Unat était convaincu que: (i) les...