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Fraude, fausse déclaration et fausse certification

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L'UNAT a estimé que les plaintes de M. Saleh pour iniquité procédurale n'étaient pas fondées pour les raisons avancées par le Tribunal du contentieux du Tribunal et il ne s'était pas acquitté de la charge qui lui incombait de convaincre le Tribunal d'appel que le jugement du Tribunal était défectueux à cet égard. Il s'est contenté de répéter les arguments intenables qu'il avait présentés devant le Tribunal. L'UNAT a noté que M. Saleh a admis deux chefs d'accusation de fraude. L'UNAT a ensuite estimé que la conduite de M. Saleh avait incontestablement porté atteinte à la relation de confiance...

Le Secrétaire général a fait appel du jugement du Tribunal. L'UNAT a constaté que le Tribunal n'avait pas donné suite au rapport d'enquête de l'OAI, dont l'acceptation avait conduit au licenciement de Mme Lekoetje. Le rapport d'enquête constituait un élément de preuve important qui aurait dû être examiné et analysé par le Tribunal du contentieux administratif, mais il ne l'a pas été. Le Tribunal du contentieux administratif a eu tort de rejeter les allégations de mauvaise conduite portées contre Mme Lekoetje sans tenir compte des preuves contenues dans le rapport d’enquête. En raison de la...

Il existe des preuves claires et convaincantes que le requérant s'est livré à une fraude aux droits et a reçu des remboursements pour des services médicaux qui n'avaient pas été fournis. Il a faussement certifié et soumis trois demandes de remboursement à Cigna, pour lesquelles il a reçu un total de 17 171,26 USD. Il n'avait pas droit à ce remboursement. Le PNUD étant auto-assuré, ces fonds ont représenté une perte pour le PNUD.

Le comportement du requérant relevait de ce que la politique du PNUD contre la fraude et autres pratiques de corruption (approuvée en octobre 2018) définit comme...

Les documents versés au dossier démontrent, par des preuves claires et convaincantes, que le requérant a loué son appartement à Addis Abeba à deux autres membres du personnel, sur la base d'un bail avec un loyer gonflé (et sans payer les frais d'agent), et que ces deux derniers ont utilisé ce bail pour demander au HCR une allocation de logement d'un montant indu.

L'UNAT a jugé que le membre du personnel était responsable d'avoir convenu que l'UNDT ne devait entendre aucune preuve directe des témoins en personne, mais devrait décider de l'affaire sur les documents soumis. En tant que tribunal inquisitoire et non uniquement contradictoire, l'UNDT aurait néanmoins pu avoir tenu une audience. L'UNAT a constaté que l'UNDT avait le droit de conclure sur les preuves du plaignant à elle seule que le membre du personnel s'était engagé dans une relation sexuelle avec elle. Leur relation sexuelle était liée à l'emploi et donc transactionnelle. L'UNDT avait le...

Le TANU a rejeté la demande d'audience du requérant et a estimé qu'une telle audience ne contribuerait pas au règlement rapide et équitable de l'affaire, comme l'exige l'article 18, paragraphe 1, du règlement de procédure du TANU.  Le TANU a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en supprimant les éléments de preuve joints aux conclusions finales du requérant ou en refusant d'entendre les superviseurs du requérant en tant que témoins. Le TANU a estimé qu'il existait des preuves claires et convaincantes que l'appelant avait utilisé la carte d'exemption de TVA et la carte de crédit...

2022-UNAT-1298, Specker

Mme Specker a fait appel. L'UNAT a jugé que la question essentielle est de savoir si la sanction imposée était proportionnée. Le principe de proportionnalité exige qu'une mesure disciplinaire imposée à un membre du personnel soit proportionnée à la nature et à la gravité de son inconduite. L'UNAT a noté que l'argument principal de Mme Specker était que la sanction imposée à elle montrait un élément d'incohérence historique dans la mesure où des sanctions moindres pour une faute similaire avaient été imposées dans d'autres cas. L'implication de sa soumission est que l'échec à imposer la...

Dans toutes les circonstances, l’intimé n’a pas prouvé par des preuves claires et convaincantes la base de la conclusion d’inconduite qui a conduit au licenciement du demandeur. Il n'y avait aucune preuve claire et convaincante d'une base factuelle pour conclusion que le demandeur avait commis les actions comme présumées. Le tribunal a constaté qu'une procédure régulière a été observée. Cependant, le non-interview des témoins appropriés a nui à la norme de preuve d'inconduite obtenue par l'intimé. Cette norme n'a pas atteint le niveau d'une affaire claire et convaincante. Parmi les recours...

Le tribunal a rappelé ses observations dans Fultang UNDT / 2022/102 déposées par ce demandeur. La mesure est fournie dans l'intérêt de l'organisation; et était pleinement justifié par la nécessité de préserver les preuves et d'éviter le risque de répétition ou de continuation d'actes similaires similaires à ceux dont le demandeur a été accusé.