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Procédure régulière

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En tant que question préliminaire, Unat a rejeté la requête de l’appelant pour apporter des preuves supplémentaires sous la forme d’un affidavit par lui pour l’absence de circonstances exceptionnelles. Unat a jugé que le Bureau des services d'audit et d'enquête (OAIS) ne prenait aucune décision qui a eu un impact sur les droits de l'appelant matériellement, défavorable ou n'a eu que de la PNUD. Unat a jugé que la recommandation de l'OAIS n'était pas une décision administrative. Unat a jugé que UNDT avait raison de soutenir que l'appel concernant l'enquête n'était pas à recevoir ratione...

Le secrétaire général a fait appel. Unat a jugé que Undt avait commis une erreur en droit lorsqu'il a conclu qu'il y avait une violation des droits de la procédure régulière de M. Elobaid, car M. Elobaid était correctement informé des allégations contre lui, ce qui pourrait conduire à une action administrative et a eu l'occasion de faire des représentations contre la mesure prise. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en fait, résultant en une décision manifestement déraisonnable, lorsqu'elle a supposé que la réprimande provenait de M. Ward, du programme de soutien et de gestion du...

Unat a convenu avec l'UNRWA DT que la décision contestée était un exercice légal du pouvoir discrétionnaire. En ce qui concerne l'affirmation de l'appelant selon laquelle le processus a été entaché en raison du délai de temps depuis que la plainte de comportement s'est produite (dix ans) et en raison de la nature du ouï-dire des preuves, Unat a expliqué que ces mêmes arguments ont été avancées à la fois au DT et au DT et au Administration pendant la phase d'enquête. Le tribunal a convenu avec l'UNRWA DT qu'il y avait suffisamment de preuves corroborantes pour soutenir les allégations. Le...

Unat a considéré un appel de Mme Modey-Ebi. UNAT a noté que les questions de l'appel étaient entièrement factuelles, dont la plupart ont été résolues dans le dossier de preuve qui, à la plupart, a établi un modèle d'inconduite justifiant le licenciement. Unat a noté que si certaines des allégations prouvées contre Mme Modey-Ebi étaient moins graves que d'autres, cumulativement, ils ont révélé un schéma de conduite contraire à l'éthique indiquant que Mme Modey-Ebi n'était pas adaptée au poste supérieur qu'elle occupait. Son comportement a révélé un manque de convenance et d'intégrité et son...

La principale preuve contre le demandeur était le témoignage du conducteur qui a affirmé qu'on lui avait demandé au demandeur d'amener un carton à Dawa. L'intimé a affirmé qu'une imprimante était absente de la liste des stocks. Le témoignage du conducteur a été crédible, d'autant plus qu'il a pu fournir des détails précis sur le code à barres de l'imprimante et le numéro de série. Compte tenu des preuves écrasantes que le demandeur avait montré un schéma d'inconduite, y compris le stockage de matériel obscène sur son ordinateur officiel, le tribunal était convaincu que l'intimé a établi un cas...

Plus une allégation est grave contre un membre du personnel et la sanction des participants, plus le degré de preuve est élevé. L'établissement de la responsabilité pénale dans les enquêtes et les procédures judiciaires, même dans le contexte d'une affaire civile comme celle-ci, doit nécessairement exiger qu'une norme supérieure à celle ordinaire d'un équilibre des probabilités soit atteinte. Le manuel des enquêtes de l'OIOS exige que les enquêteurs abordent les questions avec un «esprit ouvert» et souligne que leur tâche est de «établir des faits» et de tirer des «conclusions raisonnables» de...

Il y avait suffisamment de matériel avant que le Secrétaire général, après une enquête équitable et impartiale, atteigne une conclusion d'inconduite grave. La sanction du licenciement sommaire était juste et proportionnée à la gravité des infractions. Les demandes sont rejetées.

UNDT/2010/030, Abboud

La demande de report du jugement dans l'attente de l'issue de l'appel est rejetée. Le défendeur doit nommer un fonctionnaire ayant au moins le rang de USG pour examiner à nouveau les plaintes du demandeur concernant la conduite du SG. Le fonctionnaire doit ouvrir une enquête, le cas échéant, en vertu de la disposition 10.1 du Règlement du personnel s'il est raisonnable de soupçonner que l'AS a agi de manière à justifier l'imposition d'une mesure disciplinaire.

Renvoi pour action récursoire : la conduite du USG dans le traitement de la plainte du requérant et lors de sa déposition devant le...

Dans ce cas, l'enquête initiale était inadéquate et affectée par les biais. Résultat: le demandeur a attribué 20 000 USD pour violation du droit contractuel. Les parties chargées de faire valoir si ST / AI / 371 est toujours opérationnelle ou a été implicitement séduit par ST / SGB / 2009/7. Audience supplémentaire pour décider si la conduite de l'USG devrait être renvoyée à la SG pour une éventuelle action afin de faire respecter la responsabilité conformément à l'ART 10.8 de la loi UNDT.

L'administration, après avoir examiné le rapport de l'OIOS, avait des raisons de croire que le demandeur peut avoir eu une conduite insatisfaisante pour laquelle des mesures disciplinaires peuvent être imposées. Le pouvoir discrétionnaire a été exercé judicieusement par les officiers responsables après l'examen du rapport d'enquête de l'OIOS. Les conclusions de l'ASG / OHRM étaient celles d'un observateur objectif qui avaient examiné l'ensemble du dossier et tiré des conclusions sur la base des preuves dont il était saisi. Il n'y avait pas d'irrégularité procédurale de la part de l...