Le demandeur n’a pas droit à l’acceptation générale de l’administration de son compte rendu des événements, ni à l’imposition de sanctions contre un autre membre du personnel sans procédure régulière. La demande n'est donc pas à recevoir ratione materiae.
Article 2.1
Le tribunal a constaté que la requérante n'avait pas établi qu'elle faisait partie des trois catégories énoncées dans la loi. Elle ne pouvait pas poursuivre en tant que membre du personnel parce qu'elle ne l'était pas, et elle ne pouvait pas poursuivre en tant qu'ancienne membre du personnel parce que la réclamation n'avait aucun rapport avec son statut contractuel. Le tribunal ayant constaté que le demandeur n'était pas la veuve du défunt, elle n'avait pas droit aux avantages à quelque titre que ce soit. Le demandeur n'avait pas de permanente Ratione Personae.
La présente affaire peut être déterminée en priorité sans transmettre d'abord une copie de la demande au répondant pour une réponse comme prévu dans l'art. 8.4 des règles de procédure du tribunal. Il n’existe pas de lien entre l’ancien emploi du demandeur et la décision contestée. En conséquence, le demandeur n'a pas de position et la demande n'est pas des personnages de rationne à recevoir. Après avoir déposé la demande en attendant la réponse de l'évaluation de la direction et avant l'expiration de la période de réponse pertinente, le tribunal n'est pas compétent pour entendre la question en...
Quelle que soit la source d'informations publiées dans les articles publics, la décision de publier un communiqué de presse en réponse aux publications tombe, par principe, à la discrétion de l'organisation et est une prérogative de gestion. Les organisations soumises à un haut niveau d'examen public, qui est le cas de l'ONU, ont le droit de répondre aux allégations publiques et de défendre leurs intérêts, leur image et, finalement, leur travail dans les limites fixées par leur droit interne. Dans le cas actuel, le tribunal doit évaluer si le contenu d'un communiqué de presse a eu un impact...
UNDT a noté que le demandeur n'avait affirmé aucun droit acquis en vertu de son précédent contrat d'emploi avec l'organisation. Undt a jugé qu’il n’y avait pas de lien entre l’ancien emploi du demandeur et la décision contestée. UNDT a estimé que le demandeur n'avait pas de position et que la demande n'était pas à recevoir Ratione Personae. Undt a rejeté la demande dans son intégralité.
Au moment de l'évaluation de la direction, la décision contestée n'avait pas été mise en œuvre et n'avait donc eu aucun impact sur les conditions d'emploi des demandeurs. La décision administrative contestée ne constituait donc pas une décision administrative révisable.
Undt a jugé que la demande n'était pas à la fois à la fois à la fois rationne personae et ratione materiae car à la date du dépôt de la présente demande, la requérante n'était pas membre du personnel et la décision contestée n'avait aucune incidence sur son statut d'ancien membre du personnel ou autrement a violé les termes de son ancienne nomination ou contrat d'emploi. Undt a rejeté la demande dans son intégralité.
UNDT a trouvé la demande importante à recevoir car elle concernait une décision qui a fait l'objet de révision judiciaire de manière appropriée. UNDT a constaté que la décision de réaffecter le demandeur plutôt que de la placer en congé administratif, a été prise en équilibre son meilleur intérêt avec celles de l'organisation. Ces raisons ont été étayées par des preuves. Le Tribunal a en outre jugé que la requérante n'avait pas respecté son fardeau de prouver un motif, une irrégularité ou une illégalité inappropriés de la part de l'intimé dans la décision de réaffecter ses fonctions. Undt a...
Non seulement c'est le devoir de chaque membre du personnel des Nations Unies de coopérer avec le système de justice interne, mais il est également particulièrement important pour les hauts dirigeants de l'organisation de montrer l'exemple. Il n'y a aucune preuve qu'une décision de sélection avait été prise lors du premier exercice de sélection avant son annulation. L'annulation était basée sur des faits étayés par des preuves et, par conséquent, il était légal. Les allégations de motif ultérieur du demandeur n’ont aucune incidence sur la décision d'annuler le premier processus de sélection...
Étant donné que la compétence du tribunal est une question de droit, qui peut être jugée même sans servir la demande au défendeur pour réponse et même si elle n'est pas soulevée par les parties (voir GEHR 2013-UNAT-313; Boutroue undt / 2014/048),, Le tribunal juge approprié de décider de la présente demande par voie de jugement sommaire, comme prévu dans l'art. 9 de ses règles de procédure. Le requérant ne conteste pas une décision administrative prise par le Secrétaire général en tant que directeur administratif des Nations Unies. De plus, le tribunal considère que le PAM n'est pas l'une des...