UNDT a noté que le demandeur avait dépassé le délai obligatoire pour demander l'évaluation de la gestion de la décision contestée. UNDT a estimé que la demande était irrécouvrable comme casque. Undt a rejeté l'application.
Article 2.2
Ont non pas été que les demandes d’évaluation de la gestion des demandeurs ont été soumises après l’expiration de la date limite applicable. UNDT a noté que, bien que les candidats étaient actifs et diligents pour porter leurs préoccupations et griefs aux autorités supérieures, ces actions ne constituaient pas d'envoyer une demande d'évaluation de la gestion. UNDT a jugé que la demande de suspension d'action était irrécouvrable comme casque. UND a rejeté la demande de suspension d'action.
Le 31 décembre 2010, le Tribunal a accordé la suspension de l'évaluation de la gestion de l'action en attente, conformément à l'ordonnance n ° 338 (NY / 2010). UNDT a jugé qu'il était évident que la décision de ne pas renouveler le demandeur avait été influencée par au moins quelques considérations inappropriées qui, par conséquent, étaient satisfaites de l'illumidité prima facie de la décision. UNDT a également jugé que la situation était particulièrement urgente. Undt a en outre soutenu que, compte tenu des critiques formulées de la performance du demandeur, il était raisonnable de conclure...
Le demandeur n'a aucun intérêt à la maintenance de la procédure, donc l'affaire est close.
Le tribunal a pris note du fait que l'évaluation de la direction a été achevée le 29 septembre 2011, rendant ainsi la demande de suspension d'action déposée le 28 septembre 2011. La demande de suspension d'action a ainsi été rejetée.
UNDT a jugé que la demande ne répondait pas au test comme indiqué à l'article 2.2 de la loi UNDT, notant spécifiquement qu'il n'avait pas répondu aux exigences de dommages irréparables et d'urgence particulière. UND ne le considérait donc pas inutile de déterminer la question de l'illumidité prima facie.
Notant que le demandeur n'avait ni déposé de demande sur le fond ni aucune autre demande concernant ce fichier de cas, undt a clôturé l'affaire.
Le demandeur n'a pas été contesté que ce qu'il a contesté n'était pas une décision qui a été prise. Il a plutôt contesté une décision possible (pour l'obliger à faire une pause en service) qui serait très probablement prise par le bureau des Nations Unies à Genève. Le tribunal a estimé qu'aucune décision n'avait été prise au moment où le demandeur avait déposé sa demande. Par conséquent, l'application a été jugée irrécouvrable.
Le tribunal a constaté que la décision contestée ne semblait pas prima facie illégale et a rejeté la demande.
Le tribunal a constaté que la décision contestée ne semblait pas prima facie illégale et a rejeté la demande.