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Harcèlement sexuel

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Le tribunal a jugé que les obligations des membres du personnel en vertu du règlement du personnel 1.2 (a), (b) et (f) ne se limitent pas à l'environnement de travail mais s'appliquent également d'une certaine manière à leur vie privée. Les actions du demandeur constituaient une conduite physique de nature sexuelle qui pourrait raisonnablement être exclue ou perçue comme provoquant une infraction ou une humiliation au plaignant. Il ne fait aucun doute que la conduite du demandeur était indésirable. Le tribunal n'a trouvé aucun motif pour examiner le niveau de sanction imposé au demandeur.

Unat a considéré un appel du Secrétaire général contre le jugement sur le fond (UNDT / 2011/054) et deux autres appels du Secrétaire général et du demandeur de jugement sur la rémunération (UNDT / 2011/131). S'appuyant sur sa précédente participation à Bertucci (2011 / UNAT / 114), Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en concluant que l'administration avait violé les droits de la procédure régulière du demandeur, car aucun préjudice réel n'a été trouvé. Unat a soutenu que les faits établis, tels qu'admis par le requérant, ont clairement démontré qu'il s'était engagé dans le harcèlement...

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que le poids des preuves, dans cette affaire, justifiait la décision prise par l'UNICEF. Unat a détenu, tout en reconnaissant l'importance de la confrontation et du contre-interrogatoire de témoins, que la procédure régulière n'a pas toujours exigé qu'un membre du personnel se défend contre les mesures disciplinaires pour un licenciement sommaire ait le droit de confronter et de contre-interroger ses accusateurs. Dans certaines circonstances, le déni de ce droit n'a pas nécessairement défavorablement défavorisé tout le processus...

Unat a considéré deux appels de Mme Perelli, contre le jugement n ° UNT / 2012/034 et UNDT / 2012/100. En ce qui concerne une procédure régulière, étant donné que Mme Perelli avait la possibilité de réfuter les allégations et le contenu du rapport concerné, Unat a jugé que ces étapes de procédure faisaient partie de ses droits à une procédure régulière et, dans la mesure où UNT a trouvé que l'administration avait respecté ces ces derniers Étapes procédurales, non soutenues la constatation de UNDT. Unat a jugé que le rapport du comité d'enquête ne satisfaisait ni le remise qui lui avait été...

Unat a considéré deux appels du Secrétaire général du jugement n ° UNT / 2011/106 et UNDT / 2011/192. Unat a jugé qu'il était convaincu que le plaignant ne partageait pas le désir du demandeur de poursuivre une relation sexuelle et que la conduite du demandeur était indésirable. Unat a jugé que la transmission par le requérant d'une photographie de ses organes génitaux à une collègue, encore moins un collègue sous sa surveillance, pourrait à son meilleur, comme le constate le comité de discipline conjoint (JDC), être caractérisé comme scandaleux et très probablement indésirable. Unat a jugé...

En tant que question préliminaire, Unat a nié la demande de l’appelant d’une audience orale. Unat a ensuite examiné les allégations de l'appelant selon lesquelles les faits n'avaient pas été établis par des preuves claires et convaincantes, qu'il y avait des défauts procéduraux pendant la procédure disciplinaire et que sa séparation du service n'était pas justifiée. Unat a jugé que des preuves claires et convaincantes ont montré que l'appelant avait harcelé toutes les victimes présumées et abusé de son autorité, en violation de la politique de harcèlement du PAM. Unat a également jugé que UNDT...

Unat a considéré l'appel de M. Bagot et de l'appel croisé du commissaire général. Unat a jugé que le commissaire général est à recevoir. Unat a convenu avec les conclusions de l'UNRWA DT que les faits établis concernant le déjeuner et les événements qui ont eu lieu dans l'appartement ne constituaient pas une faute. Unat a jugé que la seule conclusion raisonnable accessible au juge de première instance était que les faits de l'inconduite présumée n'étaient pas établies par des preuves claires et convaincantes, à la lumière de l'intrigue et de la séquence des événements, évaluées conjointement...

2018-UNAT-825, He

Unat a rejeté la requête en congé pour commenter la réponse à l'appel, concluant que les questions que l'appelant cherchait à aborder dans ses commentaires serait essentiellement une répétition ou de complément à ses soumissions. Unat a jugé que Undt avait correctement examiné la décision contestée conformément à la loi applicable et a répondu aux préoccupations identifiées par UNAT en établissant les faits critiques comme indiqué. Unat a constaté que les conclusions de l'UNDT étaient conformes aux preuves. Unat n'a trouvé aucune erreur dans la conclusion de l'UNDT selon laquelle l'appelant n...

Unat a jugé que les faits incontestés, la preuve d'un rapport crédible, des preuves de ouï-dire cohérentes pointant vers un modèle de comportement, la cohérence des déclarations des témoins, l'énoncé insatisfaisant du membre du personnel et les probabilités inhérentes à la situation, prises de manière cumulative, constitué une concaténation claire et convaincante des preuves établissant, avec un degré élevé de probabilité, que l'inconduite présumée se produisait en fait. Unat a noté que l'organisation a droit et obligé de poursuivre une approche grave du harcèlement sexuel et que le message...

Sur le retard avant UNDT, Unat a convenu que le retard était regrettable, mais a estimé que le demandeur n'avait pas démontré qu'il s'agissait d'une erreur de procédure affectant l'issue de l'affaire. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en exerçant son pouvoir discrétionnaire de gestion des cas lorsqu'il a refusé la demande d'audience orale, mais que cette erreur n'a pas affecté la décision de l'affaire. Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé car il y avait des preuves claires et convaincantes que le demandeur avait commis un harcèlement sexuel. Unat a jugé que la sanction...