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TCNU Statut

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Le recours contre la décision de placer le requérant sur un PIP et le résultat de l'examen de l'UEM des décisions contestées n'est pas recevable.
L'Administration n'a pas respecté les normes procédurales attendues des Nations Unies dans une procédure conduisant à l'imposition d'un blâme écrit. Les déficiences susmentionnées soulèvent des doutes quant à l'apparence d'impartialité de l'enquête et du processus décisionnel et sont donc suffisantes pour entacher la décision attaquée. En conséquence, la décision de l'administration d'adresser à la requérante un blâme écrit et de le verser à son...

Le blâme écrit

 Base factuelle de l'imposition de la mesure

L'UNPAD, en tant que groupe d'intérêt spécial ad hoc, défend les questions relatives aux conditions de travail des membres du personnel d'ascendance africaine au sein des Nations Unies.

L'UNOMS a été créée "pour mettre à disposition des services confidentiels de personnes impartiales et indépendantes afin de traiter les questions liées au travail des membres du personnel" (voir ST/SGB/2016/7, paragraphe 1.1). L'UNOMS est guidée dans son travail par quatre principes fondamentaux, à savoir l'indépendance, la confidentialité, la...

Le TANU a souscrit à la décision du Tribunal des Nations Unies selon laquelle la décision de publier un communiqué de presse en réponse aux allégations selon lesquelles le HCDH aurait mis en danger la vie des défenseurs chinois des droits de l'homme qui ont assisté au Conseil des droits de l'homme à Genève en mars 2013 relevait du pouvoir discrétionnaire de l'Organisation et constituait une décision de gestion. prérogative. L'UNAT a estimé que la partie spécifique du texte qui concernait la question de la communication des noms de militants chinois des droits de l'homme au gouvernement chinois...

Le Secrétaire général a interjeté un appel.

L'UNAT a estimé que la conclusion selon laquelle il n'y avait pas de lien de causalité entre l'activité protégée de Mme Fosse et le comportement préjudiciable du Secrétaire exécutif était une conclusion qu'un administrateur raisonnable pouvait tirer. La conclusion selon laquelle il n'y avait pas de lien de causalité reposait sur l'enquête du BSCI, ses contacts avec d'autres membres du personnel, les informations documentaires prouvant la relation problématique essentiellement incontestée entre Mme Fosse et le Secrétaire exécutif, la mauvaise...

L'UNAT a estimé que le Tribunal avait conclu à juste titre que Mme Hanjoury avait été informée le 1er mars 2020 qu'elle n'avait plus le statut d'assistant administratif FS-5 sur la liste. Cet e-mail du 1 mars 2020 constituait une notification claire de son statut sur la liste et de la dernière date à laquelle Mme Hanjoury avait ou aurait raisonnablement dû avoir connaissance de la décision contestée, sur la base d'éléments objectifs que les deux parties pouvaient déterminer avec précision. En conséquence, la demande de contrôle hiérarchique présentée par Mme Hanjoury le 6 juin 2021 dépassait...

Lorsqu'un agent conteste plusieurs décisions administratives différentes qui doivent être considérées comme un tout, avec un effet cumulatif, il n'est pas nécessaire de les contester une à une (par une demande d'évaluation de la gestion et ensuite par une requête devant le Tribunal).

Le requérant allègue qu'il a été privé de ses fonctions essentielles en 2018 et 2019, soit plus de deux ans avant la demande. Il n'a demandé l'évaluation de sa gestion qu'en avril 2021 contre une décision de 2018, et non contre les décisions administratives ultérieures. Même si le Tribunal admettait que la...

Le Tribunal a noté que l'essentiel de la demande portait manifestement sur la lettre d'avertissement et non sur l'évaluation de la gestion en tant que telle. En l'espèce, la demande d'évaluation de la gestion a été déposée en dehors des délais légaux, mais surtout, elle n'était pas nécessaire. La demande contre une mesure non disciplinaire émise en vertu de la règle du personnel 10.2(b) ne nécessite pas d'évaluation de la gestion. En l'espèce, conformément à la règle 11.4(b), le requérant aurait dû introduire sa requête auprès du Tribunal dans un délai de 90 jours calendaires à compter de la...

UNDT/2022/070, Njagi

La requérante a contesté l'imposition de mesures disciplinaires et non disciplinaires à l'issue d'une procédure disciplinaire ; elle n'était donc pas tenue de demander une évaluation de la gestion, conformément à la règle 11.2(b) du Règlement du personnel. Conformément à l'art. 8.1(d)(ii), sa demande aurait dû être soumise directement à l'UNDT dans les 90 jours calendaires suivant la réception de la décision administrative. La requérante a reçu la lettre de sanction/décision contestée le 1er avril 2022, ce qui signifie qu'elle devait déposer sa demande auprès de l'UNDT au plus tard le 30 juin...

Le Secrétaire général de l’ONU n’est pas le Chef de l’administration de l’OIM, et l’OIM n’a pas conclu d’accord spécial avec le Secrétaire général acceptant la compétence du Tribunal du contentieux administratif. Au lieu de cela, l’OIM relève de la compétence du Tribunal administratif de l’Organisation internationale du Travail.

Étant donné que la demande d’évaluation de la gestion présentée par le requérant n’a pas été déposée avant que la requête ne soit soumise au Tribunal du contentieux administratif en l’espèce, le Tribunal n’a pas la compétence ratione materiae requise en vertu de la...

UNDT/2023/052, Lago

Le Tribunal doit veiller à ce qu’une décision administrative soit présumée contraire aux conditions d’engagement du fonctionnaire ou à son contrat d’emploi, conformément à l’alinéa a) du paragraphe 1 de l’article 2 du Statut du Tribunal. Cette décision doit être prise unilatéralement par l’Administration, être adressée au fonctionnaire et avoir des conséquences juridiques directes pour celui-ci.