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Article 7.5

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L’UNAT a rejeté la demande d’anonymat de l’appelant car la question soulevée dans son appel était purement procédurale et juridictionnelle et ne concernait aucune donnée personnelle devant être protégée.

L’UNAT a également rejeté la demande d’audience de l’appelant, estimant que cela n’aiderait pas le Tribunal d’appel à régler l’affaire de manière rapide et équitable.

L'UNAT a estimé que le requérant ayant déposé sa requête 93 jours après la réception de la décision administrative contestée, celle-ci n'était pas recevable, sauf renonciation au délai par le Tribunal. L’UNAT a observé qu’étant...

Unat a jugé que la décision de UNDT sur la demande d'un appelant de suspendre, de renoncer ou de prolonger les délais n'est pas un jugement rendu en ce qui concerne un appel contre une décision administrative, au sens de l'article 2 du statut de l'UNAT, car aucun appel n'avait encore été déposé. Unat a donc jugé que la décision de l'UNDT sur la demande de prolongation de l'appelant ne pouvait pas faire appel. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.

Unat a jugé que les appelants ne se sont pas portés dans la disposition des circonstances exceptionnelles de l'ancienne règle du personnel 111. 2 (f). Unat a jugé qu'il n'y avait pas de différence juridique entre des circonstances exceptionnelles et des affaires exceptionnelles. Unat a jugé qu'un retard ne peut être excusé qu'en raison de circonstances indépendantes du contrôle d'un appelant. Unat a jugé qu'aucune erreur en fait ou en droit n'a été faite par undt. UNAT a rejeté l'appel.

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que UNDT, en vertu de l'article 8.3 de sa loi, était autorisé à renoncer aux délais de dépôt de demandes dans certaines situations, mais que le membre du personnel n'avait pas soumis de demande écrite de renonciation et à justifier des circonstances exceptionnelles. Unat a jugé que UNDT ne pouvait examiner si des circonstances exceptionnelles existaient à moins que le personnel n'ait soumis une demande écrite de renonciation préalable. Unat a jugé que UNDT avait interprété les articles 19 et 35 de l'UNDT ROP d'une manière qui était...

2015-UNAT-552, Gallo

Unat a soutenu qu'il ne pouvait discerner aucune erreur dans le calcul de l'UNT des limites de temps applicables. Unat a considéré que la décision de l'UND selon laquelle il n'avait aucune compétence pour considérer les avantages de la réclamation de l'appelant était raisonnable et il n'y avait aucun motif de renversement. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.

Unat a constaté que UNDT ne répondait pas aux demandes des membres du personnel pour une prolongation du délai et qui avait plutôt converti Sua Sponte les demandes de prolongation du délai en applications «incomplètes», jugeant les demandes non à la créance. Unat a jugé que UNDT n'avait pas offert aux membres du personnel la possibilité de déposer une demande. Unat a jugé que UNDT avait dépassé sa compétence et sa juridiction et commis des erreurs de procédure lorsqu'elle a déterminé que les demandes de prolongation du délai étaient «l'équivalent» des demandes; a déduit que les déclarations...

Unat a jugé que des circonstances exceptionnelles existaient qui justifiaient une prolongation du délai. Unat a jugé que le pouvoir discrétionnaire de l'UNDT aurait dû être exercé en faveur de l'appelant, car il a affecté l'accès à la justice et qu'il y a une présomption que l'accès à la justice ne devrait pas être refusé au début sans raisons impérieuses, qui étaient absentes. Unat a jugé que des circonstances indépendantes du contrôle de l'appelant l'ont empêché d'agir pour déposer son appel dans le délai et il serait injuste de visiter l'appelant les conséquences d'une erreur (un échec dans...

L’avocat de l’intimé a déposé une requête demandant une prolongation du délai pour déposer la réponse de l’intimé pour plusieurs motifs, y compris les exigences de service. L'intimé a été enjoint de soumettre une demande appropriée demandant qu'il soit autorisé à participer à la procédure. La détermination de savoir s'il allait être autorisé à déposer une réponse allait être pris à la lumière de la requête de l'intimé.

Les décisions prises avant le 2 avril 2009 ne sont pas exclues d'être contestées devant le Tribunal des litiges. Résultat: La demande a été jugée à recevoir et la requête en rejet a été rejetée. L'affaire instantanée a également été considérée comme exceptionnelle, méritant la renonciation et l'extension des délais. Le membre du personnel a été accordé deux semaines pour déposer et servir une demande révisée.

Conformément à l'article 10.1 des règles de procédure, un répondant qui ne déposait pas sa réponse à temps est interdit de participer à la procédure, sauf avec l'autorisation du tribunal des litiges. Dans cette affaire particulière, pour atteindre une élimination équitable et rapide de l'affaire et rendre justice aux parties, il était nécessaire que l'intimé ait déposé une réponse. Résultat: Le juge a exercé son pouvoir discrétionnaire conformément aux articles 10.1 et 19 des règles de procédure pour accorder à l'intimé de participer à la procédure et de déposer sa réponse hors du temps.