Le TANU a estimé que l'UNDT avait conclu à tort qu'il existait des preuves claires et convaincantes que l'ancien fonctionnaire savait qu'il entretenait une relation familiale interdite avec un autre membre du personnel, M. S.R.B.
En outre, le TANU a estimé que même si les informations fournies par l'ancien fonctionnaire étaient fausses, il ne pouvait pas avoir eu l'intention d'induire l'Organisation en erreur en les fournissant ou en les omettant. Au contraire, les preuves ont établi que lorsqu'il a fait ses demandes, il ne savait pas, et n'avait aucune raison de savoir, que M. S.R.B. était...
Article 16
Le TANU a estimé que le Tribunal avait agi dans le cadre de son pouvoir discrétionnaire en rendant l'arrêt contesté sans tenir d'audience, d'autant plus que la question à examiner était celle de la recevabilité. Le TANU a également estimé que le TANU n'avait pas commis d'erreur en ne donnant pas à l'agent la possibilité de commenter la réponse du Secrétaire général, étant donné qu'il n'avait pas déposé de requête en vue d'obtenir des conclusions supplémentaires.
Le TANU a estimé que le TANU avait correctement identifié que la décision contestée était la décision de l'administration de ne pas...
L'UNAT a estimé que l'absence de discussion sur la gestion de l'affaire et d'audience devant le TCNU ne constituait pas une erreur de procédure.
Le TANU a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en admettant et en examinant le mémorandum d'allégations de mauvaise conduite, car celui-ci avait été utilisé par l'Administration uniquement pour vérifier que les circonstances justifiant le placement du requérant en ALWP existaient.
L'UNAT a également constaté que le rapport d'enquête du BSCI ne faisait pas référence aux communications entre l'appelant et son conseil, ni aux échanges au...
L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.
Le TANU a estimé qu’en raison à la fois de l’incapacité du membre du personnel à se souvenir des événements en question et de la décision du Tribunal (approuvée par les parties) de ne pas tenir d’audience en personne, le Tribunal avait fait référence à juste titre au rapport d’enquête.
Le TANU a estimé que le Tribunal avait correctement déterminé que les actes du fonctionnaire étaient de nature sexuelle. Le membre du personnel avait, sans invitation, encouragement ou consentement, embrassé deux femmes différentes de manière sexuelle...
UNAT a considéré un appel, dans lequel l'appelant a affirmé que les erreurs procédurales ont commis une intervention de procédure pour permettre au Secrétaire général de se lancer dans une enquête de non-novo et que la mesure disciplinaire de la séparation était disproportionnée. Unat a jugé que c'était dans la compétence de l'UNDT pour tenir des audiences orales ainsi que pour ordonner la production de preuves d'une élimination équitable et rapide de la procédure. Unat a jugé que l'administration supporte le fardeau de l'établissement que l'inconduite présumée, pour laquelle une mesure...
UNAT a considéré l'appel et a constaté que la manière dont UNDT a fait enquêter sur les faits contestés, dans ce cas, était insuffisante. Unat a soutenu que, comme il n'y avait pas eu de recherche de faits adéquate, il n'y avait pas suffisamment de preuves avant de décider de l'appel. UNAT en conséquence a estimé que la nécessité de plus de preuves et une détermination factuelle fondée sur elle, a exigé que l'affaire soit renvoyée pour une nouvelle considération, conformément à l'article 2, paragraphe 3, de la loi Unat. Immêlé l'appel, annulé le jugement de UNDT et renvoyé l'affaire à UNDT.
Sur le retard avant UNDT, Unat a convenu que le retard était regrettable, mais a estimé que le demandeur n'avait pas démontré qu'il s'agissait d'une erreur de procédure affectant l'issue de l'affaire. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en exerçant son pouvoir discrétionnaire de gestion des cas lorsqu'il a refusé la demande d'audience orale, mais que cette erreur n'a pas affecté la décision de l'affaire. Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé car il y avait des preuves claires et convaincantes que le demandeur avait commis un harcèlement sexuel. Unat a jugé que la sanction...
En tant que question préliminaire, Unat a refusé la demande de M. Hossain pour une audience en personne et a jugé que M. Hossain n’avait pas expliqué, au moins suffisamment, pourquoi son appel devrait être traité autrement que sur les documents déposés. Unat a jugé que Undt avait commis une erreur en droit en rejetant les procédures de M. Hossain autres que sur leurs mérites et pour les raisons juridictionnelles du seuil qu'elle était habilitée à examiner et à aider à établir. Unat a soutenu que l'UNDT, tout en disposant peut-être de l'affaire d'une manière rapide, n'a pas fait de manière...
La seule question à considérer par le Tribunal est l'adéquation de la rémunération accordée par le Secrétaire général au demandeur. Le demandeur a allégué que si le processus de sélection avait été légal, il aurait été sélectionné au poste et que la rémunération accordée n'a pas pris en compte la diminution de ses prestations de retraite. Afin d'obtenir une compensation, il ne suffit pas à un demandeur de déterminer qu'une irrégularité procédurale a été commise; Il devrait également établir que cette irrégularité lui a provoqué un préjudice direct. Par conséquent, le demandeur doit démontrer...
HARMENTION: Le tribunal a jugé que les actions du demandeur dans l'envoi de courriels caustiques et les photographies nues de Mme M, un membre du personnel de Monuc qu'il était sorti, à d'autres membres du personnel des Nations Unies dans leurs adresses e-mail officielles des Nations Unies et à leurs adresses e-mail privées constituées de harcèlement Dans le sens de ST / SGB / 2008/5 en ce que les courriels ont cherché à déprécier, humilier et embarrasser Mme M et pour compromettre sa réputation dans un contexte professionnel. Proportionnalité du Sancton: Le Tribunal a jugé que la sanction...