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Article 10.1

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L'UNAT a constaté que l'UNT ne s'est pas trompé en droit ou en fait ou dépassé sa juridiction et a rejeté l'appel du secrétaire général. L'UNAT a constaté que l'administration avait été informée des conditions de travail disharmonies au sein du bureau régional pour l'Europe et n'avait pas pris de mesures en temps opportun. En exposant M. Cahn à des conditions de travail nuisibles pendant une période considérable (plusieurs mois), l'administration a échoué dans son devoir de diligence vis-à-vis de M. Cahn pour mettre en œuvre des mesures préventives ou intérimaires et donc empêcher tout dommage...

Mme Coleman a fait appel. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND. Unat a noté qu'en atteignant sa conclusion qu'il était raisonnable pour l'administration de décider qu'il n'était pas dans l'intérêt de l'organisation de maintenir Mme Coleman sur le statut de rémunération sans effectuer de travail avant l'expiration de son rendez-vous à terme, l'UNDT considérée, entre autres, que: i) elle s'était placée dans une situation dans laquelle elle ne pouvait plus exercer ses fonctions au Pakistan; ii) Elle avait rejeté la mission temporaire qui lui a été offerte à South Soudan; et...

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que UNDT, en vertu de l'article 8.3 de sa loi, était autorisé à renoncer aux délais de dépôt de demandes dans certaines situations, mais que le membre du personnel n'avait pas soumis de demande écrite de renonciation et à justifier des circonstances exceptionnelles. Unat a jugé que UNDT ne pouvait examiner si des circonstances exceptionnelles existaient à moins que le personnel n'ait soumis une demande écrite de renonciation préalable. Unat a jugé que UNDT avait interprété les articles 19 et 35 de l'UNDT ROP d'une manière qui était...

2014-UNAT-422, Khisa

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur substantielle de procédure en ne accordant pas la légalité de la loi à l'administration. Unat a jugé que l'argument du secrétaire général sur la suspension de la date limite pour soumission d'une réponse, sur laquelle il s'est appuyé, a été étayé. Unat a jugé que UNDT n'aurait pas dû rendre un «jugement sommaire» par défaut sur le fond de l'affaire. Non soutenu l'appel et annulé le jugement de l'UND. L'affaire a été renvoyée à un autre juge UNDT pour être jugé sur ses mérites après que les deux...

L’avocat de l’intimé a déposé une requête demandant une prolongation du délai pour déposer la réponse de l’intimé pour plusieurs motifs, y compris les exigences de service. L'intimé a été enjoint de soumettre une demande appropriée demandant qu'il soit autorisé à participer à la procédure. La détermination de savoir s'il allait être autorisé à déposer une réponse allait être pris à la lumière de la requête de l'intimé.

Résultat: Dans l'exercice de son pouvoir discrétionnaire en vertu de l'article 35 des règles de procédure, le Tribunal a conclu qu'il serait dans l'intérêt de la justice d'accorder à l'intimé une prolongation du délai de dépôt de sa réponse jusqu'au 21 décembre 2009, afin Pour permettre au Tribunal de poursuivre cette affaire sans aucun autre retard.

Conformément à l'article 10.1 des règles de procédure, un répondant qui ne déposait pas sa réponse à temps est interdit de participer à la procédure, sauf avec l'autorisation du tribunal des litiges. Dans cette affaire particulière, pour atteindre une élimination équitable et rapide de l'affaire et rendre justice aux parties, il était nécessaire que l'intimé ait déposé une réponse. Résultat: Le juge a exercé son pouvoir discrétionnaire conformément aux articles 10.1 et 19 des règles de procédure pour accorder à l'intimé de participer à la procédure et de déposer sa réponse hors du temps.

UNDT/2011/217, Rosana

Un répondant qui néglige de participer à la procédure en ne déposant pas de réponse dans les 30 jours suivant la réception de la demande peut être réadmis par l'autorisation du Tribunal uniquement. L'intimé dans un tel cas est uniquement et efficacement exclu par sa propre négligence de déposer une réponse à temps. Il n'est pas exclu par le Tribunal mais par le fonctionnement de la loi. Selon son affirmation absurde selon laquelle le registraire et le juge lui devaient le devoir de lui rappeler ses obligations envers son client, l’avocat de l’intimé, a demandé, selon le Tribunal, de fournir...

UNDT/2011/216, Cooke

Jugement sommaire Le tribunal a noté que le jugement sommaire ne peut être rendu que dans une affaire où les faits importants ne sont pas contestés et que la partie à l'affaire a droit à un jugement en droit. En outre, pour qu'une partie demande un jugement sommaire, il doit être sur le fond de l'affaire et une telle partie aurait dû plaider des faits concernant l'affaire. L'intimé n'avait plaidé aucun fait important et n'avait pas non plus rejoint des problèmes avec le demandeur sur le fond de l'affaire. Présenté pour déterminer la recevabilité de la demande, le tribunal a abordé l'accès du...

Défaut de déposer une réponse: le tribunal a soutenu que lorsqu'une réponse est due conformément à l'art. 10.1 des règles de l'UNDT, l'intimé est tenu de se conformer à son obligation. Il peut ne pas choisir de déposer une requête pour que la crédibilité soit considérée comme une question préliminaire ou toute autre motion au lieu de sa réponse. Par la suite, le seul recours disponible pour l'intimé qui ne dépose pas de réponse dans le calendrier prescrit est de demander à l'autorisation du Tribunal de participer à la procédure. Jugement sommaire: notant que sous l'art. 19 des règles de l'UNDT...