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TCNU Statut

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UNDT/2024/008, Reid

Le Tribunal a rappelé qu'il ne peut réexaminer que les décisions qui ont fait l'objet d'une demande de contrôle hiérarchique dans les délais impartis.

Considérant, entre autres, que la requérante a déposé sa demande de contrôle hiérarchique après le délai de 60 jours calendaires, et que le Tribunal n'est pas compétent pour suspendre ou supprimer les délais de contrôle hiérarchique conformément à l'article 8.3 de son Statut, le Tribunal a conclu que la présente requête n'était pas recevable ratione materiae. 8.3 de son Statut, le Tribunal a estimé que la présente requête n'était pas recevable...

UNDT/2024/003, GUEZEL

L'absence d'explication justifiable de la part du défendeur pour le retard de décembre 2018 à juin 2021 ne pouvait être attribuée qu'à un manque de soin et de diligence, de transparence, de responsabilité et de bonne foi. Par conséquent, le Tribunal a estimé que le retard était indemnisable.

Le requérant a prouvé au-delà de la prépondérance des probabilités que le préjudice moral et émotionnel subi par les personnes à charge était directement imputable à la gestion négligente de l'affaire par l'administration.

L'allégation de préjudice moral a été suffisamment prouvée.

Le recours n'est pas recevable ratione materiae pour deux raisons. Premièrement, la décision prétendument contestée n'a pas la capacité de produire des conséquences juridiques directes affectant les conditions d'emploi du requérant et, par conséquent, n'est pas une décision administrative révisable relevant de la compétence du Tribunal. Deuxièmement, le requérant n'a pas déposé de demande d'évaluation de la gestion dans les délais légaux.

Il est courant que les recommandations, actes ou déterminations de l’UNEO soient sans conséquences juridiques directes et ne constituent pas des décisions administratives. Le rejet par l’Administration du rapport du président suppléant de mars 2020 n'a pas constitué une demande adressée au Bureau de l’éthique pour son examen, c’est-à-dire « un examen de l’examen ». Les documents disponibles montrent que, dans le cadre juridique applicable, des échanges ont eu lieu entre l'Administration, le Bureau de la déontologie et le BSCI concernant l'acceptation ou la non-acceptation du rapport et des...

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Le Tribunal a examiné la demande d'évaluation de la gestion présentée par le requérant et a estimé que seule la décision de ne pas le considérer comme éligible à un engagement temporaire dans le cadre de la réserve de talents, au niveau P-2, était recevable et susceptible de faire l'objet d'un contrôle juridictionnel. Toute autre décision à laquelle le requérant s'est référé dans ses observations n'était par conséquent pas recevable.

Le bien-fondé
Le Tribunal s'est référé au cadre juridique applicable ainsi qu'aux éléments de preuve versés au dossier et a noté que la pratique...

M. Ronved a fait appel.

L'UNAT a rejeté l'appel et confirmé le jugement du UNDT.

L'UNAT a estimé que le Tribunal avait commis une erreur en jugeant la requête irrecevable en ce qui concerne le refus d'une promotion temporaire à la classe P-4. La décision contestée devant le Tribunal du contentieux administratif était la décision de proroger le SPA, que l'appelant a contestée en temps utile devant le MEU et le Tribunal du contentieux administratif du Tribunal. La prolongation du PSA et le refus d'accorder une promotion étaient les deux faces d'une même décision, avec les mêmes délais pour le...

L’UNAT a rejeté la demande d’anonymat de l’appelant car la question soulevée dans son appel était purement procédurale et juridictionnelle et ne concernait aucune donnée personnelle devant être protégée.

L’UNAT a également rejeté la demande d’audience de l’appelant, estimant que cela n’aiderait pas le Tribunal d’appel à régler l’affaire de manière rapide et équitable.

L'UNAT a estimé que le requérant ayant déposé sa requête 93 jours après la réception de la décision administrative contestée, celle-ci n'était pas recevable, sauf renonciation au délai par le Tribunal. L’UNAT a observé qu’étant...

UNDT/2023/136, Koura

Le requérant n'a pas réussi à convaincre le Tribunal que l'administration avait fait naître en lui une espérance légitime de renouvellement de son ALE. Une mesure administrative prise par erreur sans contrat écrit ne constitue pas un motif d'espérance légitime de renouvellement.

Le Tribunal a convenu avec le requérant que le statut et le règlement du personnel doivent être appliqués de manière uniforme et cohérente aux membres du personnel. Les procédures des Nations Unies existent pour faciliter des décisions de fond équitables et transparentes, et le non-respect des procédures requises n...

Cette demande ne répond pas aux exigences de l'art. 12(3) du Statut de l'UNDT et l'art. 30 du Règlement intérieur de l'UNDT. Il n'est pas nécessaire de clarifier le sens de l'arrêt Ocokoru UNDT/2015/004 puisqu'il a été pleinement mis en œuvre il y a des années. En outre, les motifs soumis par le requérant comme base d'interprétation ont déjà été clairement et sans ambiguïté déterminés par ce Tribunal auparavant. Par conséquent, le Tribunal rejette la requête dans son intégralité.

UNDT/2023/132, Naji

Le Tribunal estime que le requérant conteste une décision administrative qui ne serait pas conforme à ses conditions de nomination ou à son contrat de travail et qu'il ne conteste pas la légitimité de la résolution 66/234 de l'Assemblée générale. La requête est donc recevable.

La résolution de l'Assemblée générale, le règlement du personnel et les principes et lignes directrices de la CFPI sont clairs et sans ambiguïté. Ces règles stipulent que les agents des services généraux qui souhaitent postuler à un poste d'administrateur doivent d'abord passer l'examen G à P, à moins qu'une dérogation...