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ST/SGB/2019/3

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Le TANU a estimé que l'administration n'avait pas agi de manière déraisonnable ou illégale en demandant à l'agent de travailler depuis son bureau deux jours par semaine.  Il a en outre estimé que les considérations pertinentes, y compris la situation personnelle et médicale de l'agent, avaient été prises en compte et que les considérations non pertinentes avaient été exclues.  Le TANU a également estimé que l'administration n'était pas tenue d'établir que les aménagements demandés représentaient une charge disproportionnée ou indue pour le lieu de travail.
Le TANU n'a pas non plus trouvé de...

Le TANU a noté que l'agent avait télétravaillé depuis son pays d'origine pendant toute l'année universitaire. Le TANU a estimé que le versement de l'allocation pour frais d'études exigeait la présence physique de l'agent à son lieu d'affectation officiel et que ce versement devait être suspendu ou ajusté pour la période pendant laquelle l'agent télétravaillait en dehors de son lieu d'affectation officiel.

Le TANU a estimé que l'agent ne pouvait pas invoquer un moyen de défense selon lequel l'administration était empêchée de s'appuyer sur les dispositions applicables dans son interprétation...

2022-UNAT-1294, AAF

AAF a fait appel.

Le TANU a estimé, comme le Tribunal, que le Secrétaire général n'avait commis aucune erreur de procédure qui aurait rendu illégale la décision contestée.

L'UNAT a estimé que les manquements au titre de l'article 2.2 de la norme ST/SGB/2019/3 ne pouvaient être considérés comme des irrégularités procédurales substantielles (rendant illégal le refus de mettre en œuvre des modalités de travail flexibles) que si l'absence de motivation avait eu un impact sur la procédure régulière du fonctionnaire. droits, à savoir la possibilité de contester la décision administrative devant le...

Le Tribunal a conclu qu’il n’était ni déraisonnable ni illégal d’exiger du demandeur qu’il travaille à partir du bureau deux jours par semaine. L’Administration a donc exercé à juste titre son pouvoir discrétionnaire en rejetant la demande du demandeur de travailler à domicile pendant toute la semaine de travail. Le Tribunal a pris note que le demandeur avait été en mesure de travailler à distance à temps plein de mars 2020 à décembre 2022 et qu’il y avait un besoin opérationnel pour le demandeur de retourner au travail. Le directeur a raisonnablement soupesé ce fait opérationnel par rapport...

Si l'on peut soutenir que la modification de l'intitulé d'un poste peut avoir le même effet que sa suppression, les deux actions ne sont pas synonymes dans le cadre juridique du HCR.  Ã‰tant donné que la "cessation/abolition d'un poste" et la "modification de l'intitulé d'un poste" sont prévues séparément dans le nouveau cadre d'allocation des ressources du HCR (UNHCR/AI/2019/7/Rev.1), il s'ensuit qu'elles sont indépendantes l'une de l'autre. En effet, la disposition susmentionnée comporte un libellé explicatif indiquant que la "suppression d'un poste" est "la même chose que la suppression d'un...

UNDT/2023/009, RECHDAN

La légalité de la décision contestée

L'Administration a-t-elle correctement exercé son pouvoir discrétionnaire en n'accordant pas au requérant des modalités de télétravail ?

Le devoir de diligence de l’Organisation envers le personnel pendant la pandémie de COVID-19

Depuis mars 2020, lorsque l'OMS a déclaré la COVID-19 pandémie mondiale, l'Organisation a veillé à ce que toutes les mesures nécessaires soient en place pour garantir la sécurité et la santé de l'ensemble du personnel des Nations Unies dans l'exercice des fonctions et responsabilités qui leur sont confiées.

La nature des...