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Article 4.5(c)

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L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire. L'UNAT a estimé que le fonctionnaire s'était contenté de formuler des affirmations générales non étayées selon lesquelles il possédait les compétences et l'expérience requises pour conserver son poste. Le TANU a estimé que, comme l'avait estimé à juste titre le Tribunal, le fonctionnaire n'avait pas réussi à réfuter la présomption de régularité qui découlait de la simple démonstration d'un fondement rationnel à la décision. L'UNAT a constaté que le dossier confirmait qu'il y avait eu une véritable restructuration qui avait conduit au...

La principale question soumise à l'examen du Tribunal dans cette affaire concernait la légalité de la suppression du poste du requérant entraînant le non-renouvellement de son engagement à durée déterminée.

Le Tribunal a défini les questions à examiner en l'espèce comme suit :

La restructuration était-elle authentique ?


Les éléments de preuve versés au dossier montrent que la restructuration a été effectuée dans le cadre de la transition à l'échelle du Secrétariat de l'ONU des services de technologie de l'information et de la communication ("TIC") de l'entreprise vers le nuage. La CESAP a...

UNDT/2023/136, Koura

Le requérant n'a pas réussi à convaincre le Tribunal que l'administration avait fait naître en lui une espérance légitime de renouvellement de son ALE. Une mesure administrative prise par erreur sans contrat écrit ne constitue pas un motif d'espérance légitime de renouvellement.

Le Tribunal a convenu avec le requérant que le statut et le règlement du personnel doivent être appliqués de manière uniforme et cohérente aux membres du personnel. Les procédures des Nations Unies existent pour faciliter des décisions de fond équitables et transparentes, et le non-respect des procédures requises n...

Le secrétaire général a fait appel.

L'UNAT a estimé que le Tribunal avait commis une erreur de droit et de fait et a pris une décision manifestement déraisonnable en concluant que M. Hossain avait prouvé selon la prépondérance des probabilités que la décision administrative de ne pas renouveler son engagement de durée déterminée avait été motivée par des motifs inappropriés et qu'il avait été victime de discrimination. Les raisons invoquées par l’Administration pour ne pas renouveler l’engagement de durée déterminée de M. Hossain, à savoir la suppression de son poste dans le cadre d’un...

L'UNAT a examiné un appel du Secrétaire général contre le jugement n° UNDT/2021/032. Il a également examiné un appel incident de Mme Hilaire-Madsen, selon lequel le Tribunal aurait dû annuler la décision de non-renouvellement de l’Administration et lui accorder une indemnisation alternative ainsi qu’une indemnisation pour préjudice moral.

En ce qui concerne la légalité de la décision de non-renouvellement, l'UNAT a estimé que dans les circonstances particulières, au moment des faits de la décision de non-renouvellement contestée fin décembre 2018, du point de vue d'un observateur objectif...

Promesse de renouvellement faite au requérant

La déclaration verbale générale faite par le CITO/ASG ne constituait pas une promesse expresse de renouveler l'engagement à durée déterminée du requérant. Elle ne contenait pas les éléments essentiels d'une offre de renouvellement correcte et concrète, tels que la durée de la prolongation et le nom de la personne nommée. La jurisprudence exige en outre que la promesse de renouvellement d'un engagement à durée déterminée soit faite par écrit.

Il n'existe aucune preuve d'un engagement ferme de renouveler l'engagement à durée déterminée du requérant...

L’UNAT a rejeté la demande d’audience de l’appelant. Elle a estimé que le fait de l'entendre en personne n'ajouterait rien à son dossier présenté par écrit et qu'une audience orale ne contribuerait pas à un règlement rapide et équitable de l'affaire.

Le TANU a estimé qu'une grande partie des arguments avancés par l'appelant constituaient effectivement une nouvelle soumission de l'affaire soumise au Tribunal, mais qu'il n'a pas accepté.

L'UNAT a constaté que la structure du WSSCC avait été fermée le 31 décembre 2020 à l'instigation de ses donateurs et remplacée par une autre organisation (le...

La question de savoir si le demandeur s'est vu promettre un renouvellement

La déclaration verbale générale faite par le CITO/ASG en mars 2022 ne pouvait constituer une promesse expresse de renouveler l’engagement de durée déterminée du Requérant. Il lui manquait les éléments essentiels d'une offre de renouvellement appropriée et concrète, tels que la durée de la prolongation et le nom de la personne nommée. La jurisprudence exige en outre qu'une promesse de renouvellement d'un engagement de durée déterminée soit faite par écrit (voir Kellie, par. 44). Contrairement à ce que suggère la...

La raison sous-jacente derrière le requérant que l'ALE n'est pas renouvelée était le fait qu'il ne pouvait pas obtenir de visa pour rejoindre son poste. Dans l'affaire à accomplir, le requérant n'a pas été en mesure de démontrer que la décision de ne pas renouveler son ALE au-delà de sa date d'expiration était illégale, arbitraire ou entachée par des ultiges. Selon le cadre juridique, un ALE ne porte aucune espérance, légale ou autre, de renouvellement, et doit expirer automatiquement et sans préavis à la date d'expiration spécifiée dans la lettre de nomination. En outre, l'obtention d'un visa...

Sur la base des faits présentés dans l'application, le tribunal a déterminé deux questions; (i) Si le demandeur a été contraint de prendre sa retraite, et (ii) si la décision de ne pas renouveler son ALE au-delà du 30 juin 2021 était légale. Sur la première numéro, le tribunal a jugé que sur la base de l'avis de séparation remis au demandeur du 18 mai 2021, lu avec la lettre de nomination du requérant et les preuves produites par le chef des ressources humaines du monusco lors de l'audience, il ne fait aucun doute que Le sien était un cas de non-renouvellement de nomination. Le tribunal a donc...