L’UNAT a d’abord rejeté la demande d’audience de M. Guenfoudi.
L'UNAT a conclu qu'en tant que membre de longue date du Secrétariat, M. Guenfoudi était conscient des normes de performance requises pour sa fonction de traducteur verbatim. L'UNAT a également estimé qu'il avait eu une possibilité équitable de remédier à ses lacunes en matière de performances, mais il a refusé de participer aux deux plans d'amélioration des performances. L’UNAT a estimé que le cadre juridique de l’Organisation indiquait clairement que le licenciement était une mesure prévisible après deux années consécutives de...