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ST/IA/2004/3

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UNAT a considéré un appel du Secrétaire général et un appel à l'appel de M. Bertucci. Rappelant que l'indemnisation en l'absence de blessure réelle est sans base légale, Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en droit. Cependant, en partie à l'appel croisé par M. Bertuck L'instruction ST / AI / 2004/3 doit être payée en totalité, y compris les intérêts. Unat a jugé que l'attribution de 500 USD en compensation représente une évaluation équitable de la blessure subie par M. Bertucci en raison du non-paiement d'intérêt. UNAT a rejeté l'appel et le reste de l'appel croisé et affirmé le...

Juridiction du Tribunal: Bien que l'administration ait libéré les fonds au demandeur, lorsque la juridiction du tribunal est correctement engagée, le simple fait que l'administration «corrige» la décision en question ne met pas fin à la question. Le demandeur a toujours le droit de demander la décision que la décision est illégale et une indemnité. La légalité de retenue des droits: le test n'est pas la culpabilité du membre du personnel mais simplement «raison de croire» qu'ils ont pu être grossièrement négligents, causant une perte. Il s'agit d'un test non exigeant, entre autres satisfaits...

Résultat: Le demandeur n'a pas le droit de faire supprimer la note simplement parce qu'aucune procédure disciplinaire n'a été entreprise en ce qui concerne le rapport d'enquête. Cependant, la note dans sa forme actuelle est inexacte et doit être supprimée. Son remplacement, le cas échéant, doit être exact et illustré au demandeur, qui doit recevoir une copie du rapport d'enquête pour lui permettre de placer ce commentaire sur le dossier comme il le souhaite, à condition qu'il soit raisonnablement lié à l'enquête.

UNDT a noté que la notification du secrétaire général adjoint du Bureau de la gestion des ressources humaines, dans un cas où le pouvoir d'émettre une réprimande a été délégué, n'est pas requis. Même si c'était le cas, son omission n'aurait pas pu avoir eu d'impact sur la validité de la décision contestée. Le requérant n'avait pas été correctement dispensé à commenter les faits et les circonstances avant la publication d'une réprimande écrite ou orale, donc son droit de répondre incarné par la règle 10.2 (c) n'a donc pas été observé. Les faits pertinents pour la décision n'ont pas été établis...