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Disposition 11.4

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Le TANU a rejeté les nouveaux arguments et éléments de preuve soumis pour la première fois au Tribunal d'appel, qui visaient à démontrer que M. El-Anani n'avait pas lu la pièce jointe du courriel communiquant la sanction disciplinaire.
Le TANU a confirmé que les deux enregistrements de notification Microsoft Outlook reconnus par M. El-Anani indiquaient que la décision contestée lui avait été remise et qu'il l'avait lue le 28 mars 2023 et qu'il était donc tenu de déposer sa demande auprès du TANU au plus tard le 26 juin 2023. Étant donné que M. Al-Anani n'a déposé sa demande que le 28 juin 2023...

Il existe en effet une incertitude et peut-être aussi un désaccord sur divers faits importants de l’affaire. Par conséquent, l’affaire ne peut être jugée sur la base d’un jugement sommaire.  

La partie de la présente affaire concernant l’OIM n’est pas recevable en vertu de la doctrine juridique de la litispendance.

S’agissant de la décision HLIS, le Requérant renvoie à sa demande d’évaluation de gestion du 4 novembre 2022. Ã‰tant donné que la requête en l’espèce est déposée après cette date, cette partie de la requête est donc, de ce point de vue, désormais recevable en vertu de la...

Le tribunal a constaté que le demandeur n'avait jamais fait appel ou demande à l'ABCC pour réexaminer la décision conçue conformément à l'art. 17 a) de l'ancien annexe D et que la demande n'était donc pas à recevoir ratione materiae sur ce décompte. Le Tribunal a conclu que, puisque le courrier électronique du 6 février 2019 n'était pas un appel / demande de réexamen de la décision de l'intimé, la seule décision contestable était datée du 15 janvier 2019. Le demandeur avait 30 jours pour contester cette décision en déposant une demande de réexamen conformément à l'art. 17 (a) De l'ancien...

UNAT n'a pas accepté l'argument selon lequel il n'y avait aucune preuve indiquant que l'appelant a reçu la lettre communiquant l'issue de l'évaluation de la direction le 14 juillet 2011, notant que l'UNT s'est appuyé sur la déclaration de l'appelant pour déterminer cette date. Unat a soutenu que l'appelant n'avait affiché aucune erreur de la part de UND. Unat a jugé que le secrétaire général a soutenu à juste titre que la date limite pour que l'appelant déposait une demande auprès de l'UNDT était le 12 octobre 2011, malgré toute ambiguïté quant à la réception d'évaluation de la direction et l...

Unat a jugé que le jugement de l'UND n'était pas manifestement déraisonnable en concluant que la date à laquelle l'appelant était à noter qu'il avait reçu une réponse de l'unité d'évaluation de la direction (MEU) ou qu'il était de sa responsabilité de lire la réponse MEU dès que dès que tôt que possible. Sur la question de savoir si undt a commis une erreur en droit et / ou n'a pas exercé sa juridiction en refusant de considérer le cas sur le fond, Unat a jugé que, en l'absence d'une demande écrite préalable de suspension ou de renonciation au délai de dépôt Sa demande, UNDT, n'était pas...

Unat a jugé que l'UNDT a conclu correctement que les demandes à l'UNDT, qu'ils soient en service ou anciens membres du personnel (comme l'appelant), ne sont à recevoir que si le demandeur a précédemment soumis la décision administrative contestée pour l'évaluation de la direction. Unat n'a trouvé aucun mérite dans l'interprétation par l'appelant des dispositions pertinentes selon lesquelles, en tant qu'ancien membre du personnel, il était exempté de l'exigence d'évaluation de la direction. Immêlable a confirmé la considération de l'UNT selon laquelle en cas d'ambiguïté ou de contradiction...

Unat avait devant lui l'appel du Secrétaire général contre le jugement n ° UNT / 2013/004 (jugement sur la créance) et UNT / 2013/128 (jugement sur le fond). Unat a soutenu qu'il n'y avait aucune raison de perturber la conclusion de l'UNDT selon laquelle les parties avaient demandé la médiation de leur différend et se trouvaient dans les délais pour le dépôt d'une demande. Unat détenait, affirmant la conclusion de l'UND, que la demande du demandeur était à recevoir par UNDT. Notant que la requérante a commencé son emploi avec l'UNICEF moins de trois mois après sa séparation et sans réduction...

UNAT a rejeté préliminairement la requête de l'appelant en autorisation de déposer des actes de procédure supplémentaires après avoir trouvé aucune circonstance exceptionnelle justifiant le dépôt d'une soumission supplémentaire. En ce qui concerne l'erreur de procédure présumée dans la procédure de l'UNDS par le biais d'un jugement sommaire, Unat a jugé que la délivrance de jugement sommaire par UNDT était appropriée car il n'y avait pas de litige concernant les faits importants et que la question de la créance est une question de droit. L'UNAT a également jugé que l'appelant n'avait pas...

Contrairement à la conclusion de l'UNDT, la lettre de M. Kollie du 7 juin 2007 à l'ABCC ne peut pas être considérée comme une demande en vertu de l'article 17 de l'annexe D pour convoquer un conseil médical et reconsidérer la décision du Secrétaire général. Les e-mails du 25/27 juillet 2017 et du 24 août 2017 ne peuvent pas non plus être considérés comme un examen de la décision du 16 mai 2017 du Secrétaire général ou une décision administrative en vertu de l'article 2, paragraphe 1, a) du statut de l'UND. Les courriels du 25/27 juillet 2017 ont constitué une décision implicite de l'ABCC de...

Illégalité: il doit y avoir des preuves pour établir que, à tout le moins, il est probable que la décision non renouvelable de lui-même était illégale. Un préjudice irréparable: le préjudice est irréparable s'il peut être démontré que la suspension de l'action est le seul moyen de garantir que les droits du demandeur sont observés. Bien que le demandeur s'attende à un traitement équitable, toute violation de la régularité dans cette affaire est capable d'être indemnisée financièrement ou par correction du dossier de performance. S'il est finalement justifié, il peut obtenir une compensation...